Ce chemin
La porte de l'enfer est une route sans issue,
Un chemin où les âmes perdues sont retenues.
Dans les profondeurs sombres, où la lumière refuse,
Se trouve un lieu de tourment, de peine continue.

La porte est lourde, faite de peurs et de regrets,
Chaque planche est un souvenir que l'on ne peut effacer.
Elle grince dans le silence, un son que l'on déteste,
Un rappel constant de ce que l'on a laissé passer.

Derrière cette porte, les flammes dansent et se tordent,
Elles consument l'espoir, laissent la désolation sordide.
Les cris des damnés résonnent, un chœur sordide,
Dans ce lieu de désespoir, où la pitié est interdite.

La route qui mène à cette porte est pavée de bonnes intentions,
Mais chaque pas nous éloigne de notre rédemption.
C'est un chemin que l'on emprunte sans prétention,
Ignorant que chaque tournant nous rapproche de la perdition.

Mais même dans ce lieu de ténèbres, un espoir persiste,
Un faible rayon de lumière dans le brouillard triste.
Car même la porte de l'enfer peut être franchie,
Si l'on trouve le courage de faire face à sa propre folie.

Alors, cher voyageur, si tu te trouves sur cette route,
N'oublie pas que même dans l'enfer, l'amour peut prendre racine.
La porte peut être lourde, et la route peut être dure,
Mais la clé de la sortie est en toi, pure et sûre.